jeudi 31 janvier 2008

The better for end (ça se dit ?)

Ce blog s'achève avec la publication de cet article, merci de votre compréhension (ou non).
Je vous invite dès maintenant à vous retrancher ici:

http://nezorfologie.over-blog.com/

Si, bien sûr, vous désirez me suivre.

mercredi 30 janvier 2008

I'm below

Il m'arrive d'écrire en anglais, voilà ce que ça donne :
I'M BELOW
I got off be a perfect thing
Ever and ever working and suffering
Spawning my dumb collade
And today, I fade, I'm dead

I learned to love and venerate
The valor and the heros
I learned to love and request
A thing I never saw

I'm below
I'm farther down

Enter the humans' world
Forget your existencial questions
Tidy your room, tidy your life
Raise your child, love your wife

Be good, be trig and right
Listen, pipe down and follow
Be good, listen and fight
Lead to the top the human spicies

I'm below
I'm farther down

Shut up, serve your country
Your life is a grain of sand
You can breath, but barely
Cos there's no enough air for you

You have nothing to know
Just respect the law
Here, all is subjective
We have nothing to do of your pain

I'm below
I'm farther down
I'm below
As anothers

I'm below
I'm farther down.

mardi 29 janvier 2008

Inspiration

L'inspiration est, comme vous le savez, un élan d'idées plus ou moins bonnes faisant apparition, puisée dans la noosphère, selon tonton Werber, au sein de la cervelle de celui qui en bénéficie sous forme de décharges électriques, ces idées sont ensuite converties en contractions musculaires, afin de faire réaliser au corps ce que l'esprit ne peut accomplir.
Il n'y a rien de plus sporadique et imprévisible.
Il y a des jours avec, et des semaines entières sans.
Je me situe temporellement dans une de ces semaines.
Voilà pourquoi, ces temps-ci, je ne publie rien.
J'ai envie d'écrire, et je ne peux pas.
C'est frustrant.

Bref, passons.
Le jour bénit où ces messages à la mords moi le noeud seront enfin revenus, je vous ferais signe, promis.

Aux deux personnes qui liront cet article...

vendredi 25 janvier 2008

"Nikita t'es au taquet, Nikita t'as trop tiqué."

Mes chers (et très nombreux) lecteurs (je considère que deux lecteurs est un lectorat nombreux). L'heure est grave. En effet, en l'espace de quelques mois, je me vois affublé d'un nouvelle tata. En effet.
J'écris cet article pour lui témoigner mon attachement inconsidéré, et lui dire à qu'elle est unique (car, nous le savons tous, une tata au taquet à ce point n'est pas commun).
Allez faire un tour sur son blog, où elle prône, avec humour et bonne humeur, l'humour et la bonne humeur. Justement.

http://trinyki.blogspot.com/

Je mets d'ailleurs son blog dans mes liens.
En espérant qu'elle restera à jamais ma tata.

Voilà.

mercredi 23 janvier 2008

Des mots

Paroles d'une chanson, qu'on peut pour le moment considérer comme "poème", étant donné que la musique qui est censée s'accomoder avec n'a pas encore été crée, et n'a d'ailleurs pas encore été présentée à la personne étant capable d'accomplir un tel travail.
La viande:

"Rêver de l’impossible
Tourner, tourner comme le temps
Que ce regard nous crible
Et nous observe éternellement

« Que le sang des faibles
Abreuve, abreuve nos sillons »
Que la tour d’ébène
Brûle au son de nos clairons

Rêver de la justice
Punir le peuple de ses erreurs
Renverser le calice
Sur ces corps attendant l’heure
Pensées d’éternité
Retour, retour à nos songes
Accuser nos semblables
D’être le mal qui nous ronge


Troquer toutes ces vies
Abuser de leur candeur
Noyer sous les cris
L’incarnation de la pudeur
Des mots…

Offrir au vent
Les cendres de nos défunts
Prier la pluie
De ne pas tomber demain
Espérer vivre
Que le jour se lève enfin
Et percer le givre
Se déposant sur nos destins
Aimer, aimer la vie
Sans en comprendre le sens
Se moquer du reste
Se consacrer à l’existence

Enfouir le désespoir
Sous une joie irrationnelle
Et troquer nos mémoires
Contre un engouement éternel

Rêver d’un lendemain
Sans feu ni trahison
Qu’on arrête enfin
De nourrir les canons
Des mots
Des maux..."


Bon bah, Nikita, c'est à toi...

lundi 21 janvier 2008

Hégémonie d'une niaiserie omniprésente

Ce matin, madame Pichon est au fond du gouffre, terrassée par le suicide par défenestration de son chien Jojo, un teckel court sur pattes et proportionnellement aussi énorme que son ex-propriétaire. Celui-ci, ayant pris un vulgaire bourdon pour une friandise que sa maîtresse lui envoyait, s'est jeté, en vain, dans le vide, du haut des cinq étages de l'immeuble de la-dite Madame Pichon. Le chien s'est explosé sur le béton sans broncher, dans un bruit de soupière renversée. La SPA est sur le coup : il faut éradiquer les bourdon.
Ce matin également, dans un bar parisien, Frédo la Castagne, saoul, refait le portrait d'un quidam ayant osé critiquer le short rose bonbon de l'attaquant côté gauche de son équipe de foot favorite, à qui il voue, comme tant d'autres, corps et âme (et liberté).
Dans le Morbihan, Madame Mourbec parle dans sa barbe (malheureusement pour sa féminité, madame Mourbec a une barbe), envers un couple d'adolescents amoureux, s'embrassant avec passion (un couple composé des deux sexes opposés, sinon madame Mourbec aurait eu un infarctus). Elle jure, en les regardant, et-ce de la manière la plus grossière ("petits galopins sans cervelle", "cancrelats", "jeunes délinquants"). En effet, madame Mourbec, sous l'influence de son éducation vieille école, trouve le fait de procéder à un transfert de salive en pleine rue, et devant les passants, qui plus est, au paroxysme de l'impudeur. Les jeunes d'aujourd'hui sont de pauvres ignares désoeuvrés. Inchallah.
Dans la banlieue de Saint-Bourbier-les-Chaudrons, Jean-Philippe se fait interpeller par la gendarmerie, en flagrant délit de braconnage (bilan : un escargot mort, quatre fourmis écrasées). Par chance, le gendarme l'ayant coffré étant un fan insatiable de Jonnhy, laissera partir Jean-Philippe, en le félicitant de porter, selon lui, "le plus beau prénom du monde".
En ce moment même, un groupe de terroristes des plus dangereux a réussi un coup d'état sans violence ni effusion de sang, et gouverne désormais le pays. Le génie de l'opération fut que le groupe a obtenu le pouvoir avec l'accord du peuple. A la tête du complot, un petit homme, manipulateur et sans scrupule, en passe de devenir l’homme à la tête du premier régime dictatorial français de l'Histoire, si ce n'est déjà fait. Une chose est sûre : il est devenu le gagne-pain de dizaines de journaux désoeuvrés, dont la rédaction, constamment murgée, s'endort dans son vomi, publiant sans s'en lasser chaque photo qu'elle achète de lui à prix d'or, le petit homme est ainsi devenu la coqueluche des médias français, omniprésent, et est prisé par tous les magazines "pipoles". Le régime dictato-empiro-monarchial est désormais instauré.

Enfin bon, je ne vais pas trop en parler, je tiens à vivre vieux (et con).
Sans rancune.

dimanche 20 janvier 2008

L'entité fusionnelle d'une expérimentale misanthropie ?

Ce titre ne veut strictement rien dire, et c'est ça qui est beau.
Retour à la case départ, on en était où déjà ?
Ah oui, j'écrivais ce message à l'origine pour pousser une gueulante, contre qui ? contre quoi ? That's the fuckin question. Je ne vais pas critiquer le système : déjà fait maintes fois. La cuisine trop épicée de la Corée du Nord ? Inutile au possible, le JT de 13h00 sur TF1 s'en chargera, Pernaud en fera un nouveau livre de traditions culinaires. Non, je dois trouver un sujet hors de concept, quelque chose qui fasse jouir du genou à la fois blanche neige et les sept nains.
Et si je parlais de l'omniprésence de la politique en France et dans les médias ? Marianne a exploré le sujet de fond en combles. Non, il me faut quelqu'un chose de nouveau, quelqu'un chose que personne n'a jamais lu (et que personne ne lira, d'ailleurs...). Euh, les derniers couples "pipoles" en dâte ? Closer le fait déjà. La dernière rencontre diplomatique entre la France et les Etat-Unis ? Ouais mais nan, à quoi bon ?
Bon, un petit rappel historique ? La flemme.
Ah c'est bon, j'ai trouvé: je vais faire un article à la Wikipédia, comportant des liens externes à chaque mot. Crispant au possible... Un jour viendra où chaque lettre sera liée, indépendamment des autres, un exemple serait superflu. Je pourrais, évidemment, parler de la magie de Noël, des ravages de l'alcool, ou de tout autre chose, mais je n'en ai pas envie.
J'aurais aussi très bien pu parler de notre cher président de la république, exercant, en faisant fis de la constitution, les trois pouvoirs (que, si vous aviez été un tant soit peu attentif en cours d'éducation civique, vous devriez connaître), et ainsi faire de l'ombre au Parlement, qui en ont profité pour fonde l'AAFF (l'Association des Amateurs de Fromage Fondu). Le Gouvernement, lui aussi devenu inactif. J'aurais très bien pu en parler.
Trop tard.

Au revoir.

PS1: Cliquez sur les liens, il y a de jolies images.
PS2: Wikipédia est tout de même meilleur que moi en ce qui est des liens.
PS3: Respectez autrui : soyez pudique et ne pointez personne du doigt.

samedi 19 janvier 2008

Natural Mixor

On commence fort et avec nullité, avec une vidéo de ma composition, un savant (?) mélange d'extraits vidéos Windows Vista et d'un morceau du groupe de goregrind Last Days of Humanity. De toute façon, c'est indiqué dans le générique. Vidéo faite durant une période d'ennui intense (je n'avais pas de liaison internet).
Une réel perte de temps, qui ne dure bien heureusement qu'une courte minute.
N'enjoyez surtout pas.

What the fuck ?

Well done, tu es tombé sur mon blog. Bien joué.
Tu as maintenant deux options : fermer dans l'instant cette fenêtre, auquel cas je t'adresse tout de même mes chaleureuses salutations, ou bien, dans le cas contraire, préfères-tu rester, afin que nous rêvions ensemble.
Fais ton choix.
Les prochains articles t'attendent.